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Qu’est-ce que l’approche BETTER?

L’approche BETTER se concentre sur la prévention et le dépistage du cancer, du diabète, de la maladie du coeur et des facteurs de style de vie qui y sont associés (la nutrition, l’exercice, le tabagisme, le cannabis, et l’alcool). Particulièrement, cette approche identifie un nouveau rôle dans un contexte de premiers soins (le Professionnel de la Prévention™ BETTER), qui peut être rempli seulement par un clinicien/autre professionnel de la santé.

Le Programme BETTER a été développé où?

Il a été développé au Canada, l’essai clinique BETTER a commencé dans deux villes canadiennes, Edmonton et Toronto.

Pour quelles maladies chroniques faites-vous du dépistage?
  • Le cancer (du sein, cervical, colorectal, du poumon, de la prostate), le diabète, la maladie du coeur, et l’ostéoporose.
  • Aussi, nous prenons en considération la santé mentale
Quels facteurs de style de vie abordez-vous?

Le tabagisme, l’alcool, la nutrition, le cannabis, et l’activité physique.

Qu’est-ce qu’un Professionnel de la Prévention™ BETTER?

Aidé par les outils BETTER, l’objectif de ce rôle compétent est de travailler directement avec les patients pour déterminer quelles actions de prévention et de dépistage du cancer et des maladies chroniques (CCDPS) ils sont qualifiés à recevoir et par un processus impliquant la prise de décision partagée et S.M.A.R.T. (spécifique, mesurable, attaignable, réaliste, temporel) fixer des objectifs, développer une Prescription de Prévention™ BETTER personnalisée à chacun des patients.

Quelle est la durée d’une visite avec un Professionnel de la Prévention?

En général, la visite dure entre 45 minutes et 1 heure.

Nous recommandons de commencer par des visites de 1 heure.

Il y a plusieurs variations du Programme BETTER. Certaines cliniques ont décidé de faire 45 minutes avec le Professionnel de la Prévention ™ BETTER, avec une visite de 15 minutes avec le fournisseur de soins primaires avant ou après le rendez-vous avec le Professionnel de la Prévention ™ BETTER. La durée de la visite dépend de la capacité de chacune des cliniques individuelles.

Un Professionnel de la Prévention ™ BETTER, idéalement, devrait avoir au moins une demi-journée par semaine dédiée aux visites de Professionnel de la Prévention ™ BETTER.

Veuillez noter que ceci ne comprend pas le temps que le patient prend pour remplir le sondage.

Est-ce que le programme BETTER est adaptable?

Oui! Les cliniques et les practiciens adaptent le Programme BETTER pour répondre à leurs besoins. Nous comprenons que chacune des pratiques est différente et nous encourageons les participants à adapter Classique BETTER à leur contexte.

Comment puis-je accéder aux outils BETTER?

Les versions numériques de la boîte à outils et des ressources BETTER sont disponibles ici.

Est-ce que les outils BETTER sont disponibles dans d’autres langues?

Les outils BETTER sont actuellement disponibles en anglais seulement.

Est-ce que les outils BETTER peuvent être intégrés à notre système de Dossiers Médicaux Électroniques (EMR)?

Si votre pratique/organisme a une capacité de IT et des ressources pour le faire, oui. L’équipe BETTER ne fournit pas de soutien informatique pour les problèmes liés à EMR.

Pouvons-nous ajouter les mesures additionnelles de dépistage et de prévention (comme le dépistage pour l’immunisation) pour la visite avec le Professionnel de la Prévention?

Oui, vous pouvez ajouter des mesures additionnelles de dépistage et de prévention. Toutefois, les mesures incluses dans la Carte de soins BETTER sont celles qui sont appuyées par l’examen des données. L’équipe BETTER ne peut pas fournir de recommandations ou d’appui aux directives pour ces mesures additionnelles. Par exemple, vous pourriez ajouter un dépistage pour l’immunisation mais votre pratique devrait elle-même déterminer les directives et l’étendue associées avec ce dépistage additionnel.

Y a-t-il de la recherche derrière BETTER?

Oui, il y a eu plusieurs publications BETTER. La première publication était en 2011. Pour une liste de toutes les publications, allez au ici.

Dans ces études de recherche, est-ce que les Professionels de la Prévention™ BETTER étaient des médecins ou étaient d’autres professionnels de la santé?

D’autres professionnels de la santé. Le rôle est versatile – nous avons maintenant un éventail de Professionels de la Prévention™ qui comprend les RNs, RPNs, LPNs, NPs, RDs, des pharmaciens, des médecins, et autres.

Où les activités de recherche de BETTER ont-elles eu lieu ?

Des études de recherche BETTER ont été menées dans trois provinces du Canada : l’Alberta, l’Ontario et Terre-Neuve-et-Labrador.

Pour en savoir plus sur le programme de recherche BETTER, visitez notre page données et preuves.

Quelle était la métholodogie d’étude retenue pour les essais cliniques BETTER?

Une grappe pragmatique factorielle à deux sens, un Essai Contrôlé Aléatoire (ECA).

Une grappe d’essai aléatoire est un type d’essai clinique dans lequel les groupes de sujets sont randomisés, plutôt que les sujets mêmes soient des individus – les cliniques des médecins étaient l’unité d’allocation et chacun des patients étaient l’unité d’analyse. Les essais cliniques pragmatiques se font dans un contexte où les patients reçoivent leurs soins habituels.

Quelles sont les directives BETTER pour le dépistage?

Une grande révision de directives de pratique des cliniques a été complétée pour créer un algorithme de dépistage pour guider le travail du Professionel de la Prévention. Le processus de révision des directives a aussi inclus des directives provinciales, canadiennes et internationales.

Quels ont été les critères pour décider des directives BETTER?

Des directives de pratique clinique et des outils ont été identifiés grâce à une recherche structurée de la littérature, qui comprenait à la fois la littérature répertoriée et en parallèle. Deux questions provenant de l’outil Agree II ont été utilisées pour filtrer la rigueur des directives. L’outil Agree II au complet a été utilisé pour les directives après qu’elles aient été filtrées. Un groupe de travail clinique a été convoqué pour examiner les directives et les outils, avec des représentants provenant de différents domaines tels médicine familial, soins infirmiers, nutrition et des chercheurs. Des sous-groupes ont examiné les directives et les outils pour chaque domaine et le groupe élargi a discuté et voté sur les recommandations à être retenues. Les directives sélectionnées ont été conçues pour qu’elles soient mesurables, réalisables et explicites.

À quel groupe d’âge s’applique les directives BETTER?

40 à 69 ans

J’ai des patients plus jeunes que 40 et plus vieux que 69 ans. Peut-on utiliser ce programme pour eux?

L’examen des données a été fait pour des patients entre les âges de 40 et 69 ans.

Le programme BETTER ne fournit pas de recommandations de dépistage pour les patients plus jeunes que 40 ans ou plus vieux que 69 ans. Votre clinique serait responsable pour toute recommandation hors de cet éventail d’âge.

Comment puis-je obtenir une copie de l’algorithme de présélection?

Des copies électroniques de l’algorithme de présélection, de la boîte à outils, et des ressources sont disponibles ici.

Qu’est-ce que les patients pensent du Programme BETTER?

L’étude BETTER 2 comprenait une évaluation qualitative qui analysait les commentaires que nous avons reçus des patients.

Les commentaires des patients ont montré que les patients qui ont reçu une visite avec un praticien de la prévention appréciaient les soins personnalisés et le temps consacré à parler du dépistage et de la prévention.

Une fois l’étude terminée, les patients ont exprimé le souhait que le programme se poursuive et que les soins préventifs soient au cœur du système de santé canadien.

Nous faisons déjà de la prévention dans notre clinique. Pourquoi avons-nous besoin d’un praticien de la prévention BETTER™?

Le rôle de praticien de la prévention BETTER™ est conçu pour être un compliment aux fournisseurs de soins primaires et ils travaillent qu’ils font. Il est conçu pour promouvoir le travail d’équipe interdisciplinaire.

Le praticien de la prévention travaille en partenariat avec les fournisseurs de soins primaires. Le praticien de la prévention aide à recueillir des renseignements détaillés sur les patients, à établir un rapport personnel avec un patient et à faire des références, ce qui profite au travail de l’équipe de soins primaires et permet souvent aux soins primaires de gagner un temps précieux.

Comment puis-je en apprendre plus?